Delvau, 1864 : La kyrielle de cris d’ardeur, de mots étouffés, mourants et sans suite que l’on prononce dans le paroxysme de la jouissance, tels que : …Tout à toi !… à moi !… arrête… là !… ah !… plus vite… va donc !… ah ! je sens… je fonds… arrête… je jouis… oh !…
Qu’elle est superbe en son désordre,
Quand elle tombe lès seins nus,
Qu’on la voit, béante, se tordre
Dans un baiser de rage, et mordre
En criant des mots inconnus.
A. de Musset.